LA PAROLE PROPHÉTIQUE ET L’ACTUALITÉ AU PROCHE ORIENT

Nous abordons toutes les questions relatives au salut et à la foi chrétienne.


        "L’Éternel notre Dieu nous a parlé à Horeb, en disant: Vous avez assez demeuré dans cette montagne. Tournez-vous et partez; allez à la montagne des Amoréens et dans tout le voisinage, dans la plaine, sur la montagne, dans la vallée, dans le midi, sur la cote de la mer, au pays des Cananéens et au Liban, jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate. Voyez, j'ai mis le pays devant vous; allez et prenez possession du pays que l’Éternel a juré à vos pères, Abraham, Isaac et Jacob, de donner à eux et à leur postérité après eux." (Deutéronome 1: 6-8)

         Personnellement, je crois que c'est un péché grave dans l'Eglise du Seigneur Jésus-Christ que de discuter de tout et de passer sous silence ce que Dieu aimerait dire à travers l'histoire du monde et du salut, c'est à dire ignorer son action accélérée au Proche Orient.
Retenons d'emblée le fait suivant: depuis la fondation de l'Etat d’Israël en 1948, Dieu nous signifie clairement qu'il ne se passera plus rien dans le monde et particulièrement au Proche Orient qui ne soit lié directement ou indirectement à l'accomplissement de la parole prophétique. Pour mémoire, il ne faut pas perdre de vue le fait que pour Dieu, Israël est le canal par lequel s'accomplit la prophétie! Le Seigneur Jésus-Christ disait à ce propos: "Ils tomberont sous le tranchant de l'épée, ils seront emmenés captifs parmi toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations, jusqu'à ce que les temps des nations soient accomplis." (Luc 21:24) Or depuis l'an 70 ou Jérusalem fut entièrement détruite par les armées romaines, le noyau du peuple juif qui était revenu sur la terre de Canaan fut effectivement à nouveau dispersé aux quatre coins du monde et la ville de Jérusalem échappa complètement à leur contrôle jusqu'à ce que Israël soit de nouveau introduit dans le concert des nations modernes en 1948. Oui chers frères et soeurs, amis lecteurs, dans l'horloge de Dieu, le temps a avancé et depuis 1948, l'Eternel qui avait mis ses relations en veilleuse avec son peuple, a depuis réouvert une nouvelle parenthèse sur eux tout en fermant comme annoncé, celle des nations qui a commencé sous le roi babylonien Nébucadnestar.
Ainsi nous constatons que jamais auparavant, des puissances aussi dangereuses et contradictoires n'avaient agi dans ce pays; puissances qui s'entrechoquent, surtout depuis le rétablissement d’Israël. La création de cet Etat a fait réapparaître des inimitiés, latentes depuis des millénaires, contre ce peuple et ce pays élus, car beaucoup de promesses s'accomplissent actuellement avec une grande rapidité. C'est pourquoi, l'aggravation du conflit entre Israël et la Syrie cache aujourd'hui un arrière-plan prophétique de l'histoire du salut.

         Comme Israël, l'Eglise de Jésus-Christ est la cible d'un ennemi acharné qui agit de façon directe sur votre vie, depuis que vous êtes ressuscité avec Christ et que vous Le suivez! Plus vous êtes vous-même un élément de la prophétie accomplie par la présence visible de Jésus-Christ en vous, plus l'ennemi, resté dans l'ombre jusqu'à votre naissance s'acharne à présent contre vous!
Il n'est pas pensable que les Syriens d'aujourd'hui, qui comptent parmi les ennemis les plus farouches, puissent analyser les racines profondes et anciennes de leur haine contre ce peuple. Ils ne voient que l’Israël actuel qui, selon leur expression, représente une "écharde", ou une "tumeur cancéreuse dans le corps arabe". Il y'a quelques années, un commandant syrien, qui inculquait à ses subordonnés les motivations de la lutte contre Israël, représenta la cause par le fait suivant: un des futurs officiers devait présenter sa main ouverte au commandant syrien, qui enfonça la pointe d'un couteau dans le creux de cette main. Naturellement, le subordonné replia immédiatement ses doigts en forme de poing. Le commandant expliqua alors: "Vois-tu, Israël est cette pointe de couteau dans le corps arabe. Exactement comme tu as replié tes doigts pour faire le point, nous les peuples arabes nous trouverons l'unité grâce à la "Pointe de couteau d’Israël". Cela se passe de nos jours! La Syrie considère cette haine contre Israël comme un élément d'unité entre les peuples arabes. Pour l'instant, il est avantageux pour la Syrie que la crise avec Israël s'exacerbe. C'est une possibilité pour elle de sortir de son isolement croissant dans le monde arabes.
C'est un avertissement pour nous ; en tant qu'Eglise du Nouveau Testament, corps de Christ, nous devons être sur nos gardes quant au danger d'une attitude négative! Beaucoup de gens s'entendent, non pas en Jésus-Christ, mais dans la décadence de l'unité spirituelle! Si ce n'était pas le cas, il y aurait certainement un réveil! Hérode et Pilate devinrent amis lorsqu'ils s'unirent contre Jésus. Auparavant, ils étaient ennemis.
Israël n'est pas non plus en mesure d'analyser la haine millénaire, profonde et satanique qui se dresse contre lui. Nous pensons qu'il ignore ce conflit, parce qu'il ne connait pas sa propre Bible. Il s'agit de deux facteurs dans cette grave crise au Proche-Orient:

1- Le peuple d’Israël
2- Le pays d’Israël

        Bien que les politiciens et toute la communauté dite "internationale fassent une lecture différente du déroulement des événements au Proche Orient pour la protection de leurs intérêts divergents, il importe néanmoins que nous prenions un peu de recul à la lumière des écrits bibliques.
Dans ce présent article, il convient que nous analysions les racines des deux peuples, Israël et la Syrie qui sont tous les deux des acteurs majeurs au centre de ces crises.

1- ISRAËL ET LA SYRIE ONT LA MÊME RACINE ANCESTRALE

          Ils ont le même ancêtre! Nous ne pensons pas Abraham, mais à Térach. Abraham est le père de tous les croyants, le père de la circoncision. Dans l’épître aux Romains, chapitre 4, il est mentionné sept fois sous le nom de père. Cependant avec la Syrie, il faut aller plus loin dans le passé. Elle est le seul Etat Arabe qui possède le même ancêtre qu’Israël: "Voici la postérité de Térach. Térach engendra Abram, Nachor et Haran. Haran engendra Lot. Et Haran mourut en présence de Térach, son père, au pays de sa naissance, à Ur en Chaldée" (Genèse 11: 27-29). Nachor, le frère d'Abraham, est l’ancêtre des Syriens: "Après ces choses, on fit à Abraham un rapport, en disant: Voici, Milca a aussi enfanté des fils à Nachor, ton frère: Utz, son premier né, Buz, son frère. Kemuel, de qui descendent les Syriens" (Genèse 22:22-21).
Ainsi Abraham, était marié avec Sara, père du peuple d’Israël
Nachor était marié avec Milca, père du peuple syrien
Tous les deux ont le même ancêtre, Térach.
Ceci est le grand avantage de la Syrie! Contrairement aux autres peuples arabes, les syriens sont de de vrais sémites! La plupart des arabes sont descendants d'Ismael, fils d'Abraham né de la servante de Sara. A son tour, Ismael se lia avec les paiens. L'appel du Seigneur ne s'adressa pas seulement à Abraham, mais aussi et d'abord à Térach, respectivement à toute la famille d'Abraham. Finalement, Abraham fut le seul à répondre à cet appel: "Térach prit Abram, son fils, et Lot, fils d'Haran, fils de son fils, et Sarai, sa belle-fille, femme d'Abram, son fils. Ils sortirent ensemble d'Ur en Chaldée pour aller au pays de Canaan."(Genèse 11:31) Pour commencer donc, Térach s'était engagé dans la bonne direction. Le pays promis, le pays de Canaan! Mais nous lisons plus loin: "Ils vinrent jusqu'à Charan, et ils y habitèrent." Térach n'avait pas compris l'action de l'Esprit de Dieu qui les dirigeait vers le véritable but. Il resta accroché à Charan. En réalité, il y avait déjà une division dans la famille d'Abraham, puisque Nachor fut absent dans ce cortège. Peu à peu, l'arrière-plan de la crise au Liban et au Proche Orient prend forme! Pourquoi Nachor, le père des Syriens manque-t-il? Josué 24:2-3 nous apprend que Nachor comme Abraham avait servi les faux dieux. Il n'a pas répondu à l'appel. L'autre tragédie fut l’arrêt de Térach, le père. Il y a tant de gens qui entendent l'appel de Dieu et qui s'engagent à suivre Jésus. Ils ont choisi la bonne direction, mais ils se sont laissés arrêter. Pourquoi? Relisons la fin du verset 31, mentionné plus haut: "Ils sortirent ensemble d'Ur en Chaldée pour aller au Pays de Canaan; ils vinrent jusqu'à Charan, et ils y habitèrent." 


Chose curieuse, le nom de Térach signifie "esprit indécis" ou "celui qui séjourne". Térach fut un de ces indécis qui ne pouvait pas se détacher entièrement du passé, bien qu'il se mit en route avec Abraham qui fut encore sous l'autorité de son père malgré ses 70 ans passés et avec Lot, en direction de Canaan le pays promis. Toutefois il resta en panne. Aussi longtemps que Térach recula, Abraham ne pouvait avancer. Quel incident fallait-il pour changer les choses? Il fallait la mort de Térach. Si nous discernons dans la personne de Térach l'image du vieil homme qui nous retient, nous devons reconnaître qu'il vécut bien longtemps: "Les jours de Térach furent de deux cent cinq ans, et Térach mourut à Charan. L’Éternel dit à Abram: Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai" (Genèse 11:32 à 12:1). Ce fut l’occasion pour Abraham et pour Israël d'entendre comme tout à nouveau la voix du Seigneur et il partit avec Lot en Eretz-Israël! L'indécis n'était plus là! "Abram partit, comme l’Éternel le lui avait dit, et Lot avec lui" (Genèse 12:4)
Jusqu'au moment du sacrifice d'Isaac, on entend plus parler de Nachor, le frère d'Abraham et père des Syriens. C'est plus tard qu'Abraham reçut des nouvelles de la naissance de Kemuel, de qui descendent les Syriens (Genèse 22:20-21).
En lisant le texte de Juges 10:6, nous pouvons mesurer l'ampleur de l’idolâtrie de Nachor qui avait préféré rester à Ur en Chaldée au lieu de s'en aller avec son frère Abraham: "les enfants d’Israël firent encore ce qui déplaît à l’Éternel, ils servirent les Baals et les Astartés, les dieux de Syrie....(Juges 10:6) 
Dans d'autres traductions, la Syrie est appelée "Aran", ce qui revient exactement au même. Le nom de Nachor, qui signifie "écumant de rage", "Le jaloux" ou "le ronfleur" (il y a plusieurs interprétations en hébreu), révèle sa manière de penser face aux descendants de son frère Abraham. Les bénédictions au-delà de toute mesure dont Abraham fut l'objet parce qu'il avait suivi le Seigneur dans le pays inconnu, n'ont certainement pas échappé à Nachor! Ce fut la raison de sa fureur et se sa jalousie. Mais, comme mentionné plus haut, le nom de de Nachor peut aussi signifier le "ronfleur". En observant le milieu chrétien, nous pouvons discerner les caractères négatifs de tant de croyants de la nouvelle alliance, qui préfèrent rester dans l’idolâtrie du matérialisme au lieu de s'engager avec le Seigneur. Ils dorment spirituellement et sont un grand danger pour la postérité spirituelle d'Abraham. De telles personnes réagiront alors comme Nachor, avec jalousie et fureur, lorsqu'ils verront les bénédictions du Seigneur sur ceux qui avancent avec Lui par la foi.
Balaam, le prophète corrompu qui avait l'intention de maudire Israël était Syrien (Nombres 23:7). Rebecca, la mère de Jacob était la fille de Béthuel, aussi un Syrien (Genèse 25:20)
Nous ne voyons guère cette rage fanatique des Syriens contre Israël chez les autres Etats arabes: L'Egypte a quelques tendances à la paix, la Jordanie garde la frontière ouverte entre son pays et Israël et l'Arabie Saoudite n'est jamais aussi fanatique que la Syrie. L'histoire d’Israël est jalonnée de guerres avec la Syrie: souvenons-nous de Ben-Hadad et d'Hazael de Syrie (2Rois 6:24; 7:2; 13:22-25).
         Les Syriens lorsque l'on se réfère à l'histoire, n'ont vraiment joui de la liberté. On s'aperçoit ainsi qu'un jaloux ne pourra jamais se réjouir d'une pleine liberté. Il garde des complexes, rumine et convoite.
740 ans avant Jésus-Christ, elle fut incorporée à l'empire assyriens par Tiglat-Pileser. De 625 à 650 ans avant J-C, elle faisait partie du royaume chaldéen-babylonien. De 560 à 332 avant J-C, la Syrie subit la longue domination perse, et quelque temps celle d'Alexandre le Grand. De 64 avant J-C jusqu'en 395 après, elle était une province romaine, pour être engloutie plus tard par les arabes. Maintenant encore, la Syrie n'est vraiment pas libre. L'ombre gigantesque de l'Union Soviétique couvre ce pays. Ils doivent agir selon ce que veut la superpuissance russe.
Il nous faut considérer ces différents points, autrement nous ne comprendrons rien du conflit entre Israël et la Syrie. Le passé plus que millénaire d’Israël et de la Syrie est une histoire marquée de sang et de larmes. Aujourd'hui encore, l'esprit "Nachor écumant de rage", souffle plus que jamais contre Israël!

2- LES FRONTIÈRES DU GRAND ISRAËL

           Considérons maintenant la deuxième raison de cette guerre qui éclatera tôt ou tard! En effet, au regard de la parole prophétique: 
"Tournez-vous et partez: allez à la montagne des Amoréens et dans tout le voisinage, dans la plaine, sur la montagne, dans la vallée, dans le midi, sur la cote de la mer, au pays des Cananéens et au Liban. Jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate. Voici, j'ai mis le pays devant vous: allez et prenez possession du pays que l’Éternel a juré à vos pères, Abraham, Isaac, Jacob, de donner à eux et à leur postérité après eux." (Deutéronome 1:7-8)
Observez ou passe la frontière d’Israël: près du grand fleuve d'Euphrate! Voilà une des raisons les plus importantes des turbulences au Proche Orient. Israël est pressé par la communauté internationale de se retirer des territoires, etc. Toutefois, ce n'est pas ce que le monde dit qui est déterminant! Seul le serment que l’Éternel a fait, serment dans lequel est inclus le Liban et qui demeure valable pour les frontières d’Israël.
Dans cet article, nous avons choisi d'explorer le chemin de la vérité: en nous basant uniquement sur la parole de Dieu, car la politique du monde est trompeuse et dans l'erreur.
L'Etat et la montagne du Liban ou Israël et la Syrie s’entrechoquent, sont situés au nord de l’Israël actuel, Liban signifie "la montagne blanche". Tout ce territoire s'étire le long de la cote méditerranéenne entre Tyr et Arfat, sur une longueur de 170 km environ. Il faut retenir selon la prophétie que non seulement une partie du Liban doit revenir à Israël, mais tout le Liban comme nous en avons la preuve en Josué 13: 5: "Le pays des Guibliens, et TOUT LE LIBAN vers le soleil levant, depuis Baal-Gad au pied de la montagne d'Hermon jusqu'à l'entrée de Hamath." Pour compléter cette déclaration, il est utile de comparer le texte de Deutéronome 11: 24-25:"Tout lieu que foulera la plante de votre pied sera à vous; votre frontière s'étendra du désert au Liban, et du fleuve de l'Euphrate jusqu'à la mer occidentale. Nul ne tiendra contre vous. L’Éternel, votre Dieu, répandra, comme il vous l'a dit, la frayeur et la crainte de toi sur tout le pays ou vous marcherez." Il n'est pas possible de trouver parole plus claire, mais on ne tient plus compte, aujourd'hui, de l'Ecriture! On discute des réactions d’Israël, de la Syrie, mais on occulte ce que dit la Bible.
A travers cette proclamation de l'Ecriture se dégage l'un des arrières plans prophétiques de la guerre menaçante entre la Syrie et Israël.
La relation intérieure de cette crise déjà mentionnée se transforme ainsi en une relation extérieure, exactement comme le royaume de Dieu dans les cœurs des membres du corps du Christ, mais visible aujourd'hui en Israël. Le Liban est donc lié invisiblement à Israël, et cette relation sera bientôt manifeste, car l’Éternel est merveilleux par delà les frontière d’Israël. 

           Il est réconfortant de savoir que l'avenir israélo-syrien réserve un coté positif qui apparaîtra au moment ou le Seigneur Jésus-Christ sera revenu: "En ce même temps, il y aura une route d'Egypte en Assyrie. Les Assyriens iront en Egypte, et les Égyptiens iront en Assyrie, et les Égyptiens avec les Assyriens serviront l’Éternel. En ce même temps, Israël sera, lui, troisième, uni à l'Egypte et à l'Assyrie, et ces peuples seront l'objet d'une bénédiction. L’Éternel des Armées les bénira, en disant: "Bénis soient l'Egypte, mon peuple, et l'Assyrie, oeuvre de mes mains, et Israël mon héritage". (Esaie 19:23-25)
Ces faits extraordinaires, liés à l'histoire du salut, nous font paraître les combats au Liban entre les étrangers: Arabes; Syriens; chrétiens, etc, sous un nouvel aspect! Ils ressemblent aux combats qui se livrent dans l’âme des enfants de Dieu aussi longtemps que l'Esprit du Seigneur n'y règne pas: "Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair; ils sont opposés entre eux...(Galates 5:17)
Les étrangers au Liban, dans ce cas les Syriens, les musulmans, les chrétiens et les Arabes, ne sont pas les héritiers du Liban! Ils se déchirent pour une nation qui ne leur appartient pas! Il est intéressant de constater que le Liban était partiellement Turc au début du 19 ème siècle. Mais les Turcs n'étaient pas héritiers du Liban. Dans les années vingt, les Français s'y installèrent pour y exercer leur mandat. Ils ont aussi du se réitérer, n'étant pas non plus les héritiers du Liban. L'Etat actuel du Liban existe depuis l'année 1926, donc depuis maintenant 92 ans, un temps assez long pour permettre aux habitants de s'y établir définitivement. Il semblait au début qu'ils réussiraient. Avant la survenue de la guerre civile, on parlait du Liban comme de la "Suisse de l'Orient". Mais, nous le réitérons, : le mélange musulmans-chrétiens d'origine arménienne et kurde, n'est pas héritier du Liban. Tous les combats sanglants qui se déroulent dans ce pauvre pays doivent être perçus en réalité comme une guerre entre Israël et la Syrie à la lumière de l'histoire du salut. 

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